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PART 6 A table
Une fois de retour à son domicile, la Maîtresse pris soin de me rappeler quelques règles. « Je veux que cette soirée soit parfaite! Je ne tolérerais aucunes fautes de ta part! Mon invité est également une très belle dominatrice et tu devras donc lui être totalement dévoué! Il est inutile de te préciser que nous n'aurons aucun scrupule à t'utiliser comme un vulgaire objet destiné à assouvir nos désirs! ».
Après avoir reçu ces consignes, je commençais la préparation du dîner. La Maîtresse en profitait pour revêtir sa tenue de reine et se maquillait tranquillement dans la salle de bain. De mon coté, je mis tout mon cœur à confectionner un repas digne des mes deux dominatrices en espérant qu'Elles apprécieraient. Le temps défila à grande vitesse et j'eus tout juste le temps d'achever ma besogne quand la sonnette retentit. je me précipitais pour ouvrir la porte et découvris une femme assez grande, vêtue d'un long manteau rouge serré à la taille. « Je suppose que tu es cette carpette de soumis! Dépêche-toi de me délester de ma veste! ».
En entendant ces paroles, je compris qu'Elle était bien décidée à me traiter comme son esclave. je la débarrassais donc de son manteau et de son sac à main auquel était noué un très joli foulard, ce qui lui donnait une certaine classe. je l'invitais à prendre place sur le canapé du salon en attendant son hôte. Sa courte robe entrouverte au niveau du dos laissait apparaître de beaux tatouages. Elle possédait de longues jambes galbées dans des bas aux coutures apparentes. La Maîtresse fit enfin son apparition dans la pièce. Elle était magnifique et son entrée était digne d'une star hollywoodienne. Après de chaudes embrassades, les deux reines s'échangèrent quelques compliments sur leurs tenues respectives. je profitais de cette occasion pour leur servir immédiatement l'apéritif. Elles étaient toute les deux confortablement assises sur le divan quand je leur proposais un verre de vodka orange préalablement glacé. Ce fut le moment de trinquer en l'honneur de cette soirée qui s'annonçait pleine de plaisir pour les dominatrices mais très fatigante pour moi. La Maîtresse me mit tout de suite dans l'ambiance en m'ordonnant de m'étendre à terre devant Elles. « Mon invitée et moi avons besoin d'un bon repose-pied, n'est-ce pas » - « Absolument! Je n'ai pas remarqué de paillasson à ta porte d'entrée, et mes chaussures sont toute sales! » - « Ne t'inquiète pas! Mon soumis va se faire une joie de nous nettoyer les pompes! ».
je m'allongeais donc comme prévu le long du canapé et je reçu instantanément les semelles de leur chaussures sur mon visage en cadeau. L'invitée avait effectivement dit vrai. Ses escarpins n’étaient pas vraiment propres. je ne disais rien car j'étais relativement heureux de me retrouver à leurs pieds. Au bout de quelques secondes, Elles ne s'occupaient plus du tout de moi. J'écoutais peu leurs conversations car mon attention était portée sur leurs magnifiques chaussures qu'Elles écrasaient le long de mes joues et de mon front. Elles riaient à plein poumons tout en finissant tranquillement leurs verres. « Va nous en servir un autre et plus vite que ça! Mon amie à soif! » - « C'est bien vrai! Et puis je constate également que mes chaussures sont toujours aussi sales. C'est assez gênant! » - « Effectivement! Tu as entendu ce qu'Elle vient de te dire, espèce de larve? En revenant, tu lui astiqueras ses escarpins, compris? ».
je servis une deuxième tournée d'apéritif pour mes deux dominatrices et repris très vite ma position initiale de paillasson. L'invitée me présenta immédiatement ses chaussures crasseuses. Il était évident qu'Elle attendait que je les lèche. je devais donc exécuter ses moindre désirs et fit glisser ma langue sous ses semelles. Mais je me rendis compte qu'elles étaient recouvertes d'une fine pellicule de saleté assez désagréable au goût. La dominatrice le savait pertinemment et avait décidé de m'en faire baver. Au fur et à mesure de mon nettoyage, je dû ainsi avaler de petites parcelles de terres incrustées sous ses chaussures. Les deux Maîtresses se plaisaient à me voir me délecter de cette crasse.
Ma Maîtresse pressa ensuite ses deux pieds sur mon front, me contraignant à ne plus bouger ma tête pendant que son amie s'amusait à essuyer pleinement ses semelles sur ma langue bien tirée. L'invitée inspecta peu après le résultat en montrant ses escarpins à son hôte. « Et bien... Il à l'air d'aimer ça, cette salope! Regarde, mes pompes sont quasiment propres! » - « Bien sure! C'est la moindre des choses tout de même! Tu ne te rends pas compte de l'honneur que tu lui fais! C'est un plaisir pour lui de savourer la crasse sous tes chaussures!».
Ma Maîtresse n'avait pas vraiment tort car, hormis le coté écœurant et sale de cette besogne, c'était un véritable bonheur de pouvoir servir les deux dominatrices. Je m'étais de toute façon préparé à recevoir les pires humiliations durant cette soirée. Et, contrairement au premier jour, je n'étais plus aussi timide ou choqué par toutes ses pratiques dégradantes. La Maîtresse pouvait être fière car Elle m'avait drôlement bien dressé. Ce fut d'ailleurs à son tour d'exiger de moi un nettoyage intensif de ses escarpins. La tâche était évidement plus aisée et beaucoup plus agréable puisque ses chaussures étaient neuves. j'étais tellement heureux de cette soumission que je me frottais littéralement contre le cuir et léchais avec amour ses belles chaussures à talon. L'invitée était réellement épaté de ma dévotion. « Regarde-le, on dirait un chien! » - « Mais, c'est un chien! Je considère que mon soumis doit se comporter comme tel s'il veut obtenir le droit de m'appartenir! » - « Tu as bien raison! Rien ne vaut un bon dressage! » - « Exact! En parlant de dressage, il serait d'ailleurs temps de dresser la table! ».
La Maîtresse me repoussa violemment d'un coup de pied et m'envoya directement servir le dîner. Au préalable, j'avais heureusement installé l'essentiel de la décoration de table ce qui me fit gagner un temps précieux. En effet, je savais qu'il n'était pas question de faire attendre les deux reines de cette soirée. Elles s'installèrent donc l'une en face de l'autre tout en continuant à discuter. j'apportais l'entrée en espérant que cela leur plaise et une fois le plat sur la table, la Maîtresse me donna l'ordre de me mettre à quatre pattes entre leurs jambes. Cela pouvait paraître agréable de se retrouver une fois de plus à leurs pieds, mais ce fut en réalité une position assez délicate puisque c'était un bon prétexte pour les dominatrices de m'envoyer des petits coups de pieds dans les cotes et dans le visage. j'essayais tant bien que mal de résister mais je ne pouvais malheureusement pas me retenir de pousser des gémissements de douleur, ce qui exaspéra ma Maîtresse. « Tu va te taire, sale larve rampante! » - « C'est vrai qu'on ne s'entend plus parler! ».
L'invitée, apparemment excédé Elle-aussi par mes gémissements, se leva brusquement de la table en direction de son sac qui était resté à coté du canapé et m'ordonna de la suivre. Elle dénoua d'un geste énervé le foulard qui y était accroché, et me le fourra profondément dans ma bouche. Elle me donna une gifle et me fit signe de retourner à ma place. « J'espère qu'on sera tranquille maintenant! » - « Bravo! Tu as eu bien raison! En tout cas, il n'a pas intérêt à salir ton foulard! ».
Une fois leurs assiettes vides, je m'empressais de leur amener la suite. je me présentais désormais face à elle, la bouche pleine, ce qui me donnait un air ridicule et provoqua en moi une forte sensation de honte. je les servis tout de même amoureusement, puis retourna sous la table. La Maîtresse pressa soudain son talon dans mon dos et m'ordonna de me relever. « Qu'est-ce que tu fais? Je ne t'ai pas ordonné de te glisser sous la table? Ceci était valable pour l'entrée, mais maintenant que nous en sommes au plat de résistance, tu va rester debout, devant la table, à nous regarder manger! Tu es tellement pitoyable bâillonné de la sorte que je veux pouvoir mater ta petite gueule de soumis! ».
Cette humiliation dura quinze longue minutes pendant lesquelles, les deux dominatrices s'amusaient à tour de rôle à me rabaisser comme un moins que rien. Leur ricanements moqueurs ne devaient en aucun cas me faire réagir et je dû resté ainsi, telle une statue, à écouter leurs insultes. En jetant un regard furtif sur leur assiette, je m'aperçus qu'Elles n'avaient pas complètement fini leurs dîners mais semblaient l'avoir apprécié. je reçu ensuite l'ordre de leur apporter le dessert, mais sans débarrasser la table. Avec une certaine incompréhension, je partis dans la cuisine en me demandant dans quelle situation honteuse la Maîtresse allait vouloir encore m'humilier. En revenant dans le salon, je les vis toutes les deux assises dans le canapé. Elles avaient apparemment décidé de déguster leur crème glacée confortablement. La Maîtresse m’ordonna de déplacer la table basse et de m’approcher d’Elles. « Pour manger notre dessert, tu va rester bien sagement à genoux devant nous et tu va nous tenir les coupes ! Et je ne veux pas te voir bouger ! ».
je jugeais cette humiliation moins dégradante que les précédentes. Mais c’était sans compter le plaisir immense que les deux dominatrices prenaient à me dominer. Elles dégustèrent quelques cuillérées en me narguant puis, elles décidèrent de me faire partager l’autre moitié de leur dessert en avalant la crème et en la recrachant sur mon visage. Etrangement, je restais immobile, car j’en avais bien sure reçu l’ordre, mais surtout parce que j’éprouvais une certaine jouissance dans cette dégradation. Lorsque leurs coupes furent vides, j’avais le visage complètement souillé de ce mélange excitant de crème et de salive. « Ça t’apprendras à me désobéir, petite larve rampante ! Regarde-toi ! Tu es pitoyable maintenant ! » - « Moi, je le trouve bien ainsi ! Il ressemble enfin à un soumis ! En plus, il bande comme une merde ! ».
La Maîtresse n’avait pas remarqué ce petit détail. Elle se mit à éclater de rire en me giflant. Son fou rire ne tarda pas à être contagieux auprès de son amie, qui m’envoya également quelques gifles. Soudain, mon ventre commença à gargouiller. Au vu de ma faim qui se traduisait par un gargouillement excessivement bruyante, la Maîtresse m’ordonna de débarrasser la table et de déverser les restes de leur assiette dans une seule. j’exécutais ses désirs puis, je dû présenter l’assiette remplie en la déposant à leurs pieds. Elles trempèrent généreusement leurs chaussures dans cette bouillie et me montrèrent leurs semelles « Tu vois qu’on a bien fait de te faire nettoyer nos pompes ! Nous avons la grande bonté de te faire bouffer nos restes sur des chaussures propres! Maintenant, mange ! ».
Le goût était exécrable car ce repas était froid. Au bout de quelques bouchées, je fis abstraction de cette immonde bouillie en réalisant que je mangeais à leurs pieds. C’était vraiment jouissif de me sentir totalement soumis et rabaisser cet acte dégradant. Elles me prêtaient un peu d’attention, ce qui était tout à fait agréable, même si je savais pertinemment qu'Elles me considéraient comme un simple lèche-bottes. Ceci n’était que le début de la soirée et ce qui suivit fut aussi excitant.
A suivre...
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PART 7 Double plaisir
Une séance, un peu nouvelle, commença pour moi. La maîtresse partit dans sa chambre en me commandant de rester debout au milieu du salon. L’Invitée me dévisageait de haut en bas d’un petit sourire pervers. Elle ne disait rien mais exécutait un dangling magnifique avec son escarpin. Après quelques instants d'observation, Elle me posa une série de questions: « Tu as vu comme je suis sexy et supérieure à toi ? C’est parce que je suis une femme! Tu aimerais bien être une femme, hein ? Tu as déjà porté de la lingerie féminine ? Tu dois aimer ça, n’est-ce pas ? ».
je n’avais pas d’autres choix que de lui répondre en hochant de la tête par l’affirmatif. La Maîtresse réapparut à ce moment là en jetant devant moi, par terre, un petit tas de lingerie féminine. « Mon amie a pour fantasme de posséder un soumis féminisé. Alors, en tant qu’esclave obéissant, tu va devenir sa petite salope ! Habille-toi ! ».
j’eu un peu de mal à revêtir cette lingerie car je n’y étais pas habitué. Mais au bout de trois minutes, j’étais enfin prêt. je portais un body en dentelle rouge recouvert d’un soutien gorge noir, ainsi qu’un porte-jarretelle soutenant des bas noirs. j’avais dû enfiler ensuite une paire de chaussures à talons hauts dans lesquelles je n’étais pas très à l’aise. L’Invitée était émerveillée du résultat. Les deux Dominatrices tournaient lentement autour de moi comme des vautours prêt à se jeter sur leur proie. C’est alors qu’Elles prirent la décision d'aller toutes les deux aux toilettes. Pendant ce temps, je restais patiemment debout au centre du salon. je les entendais rire aux éclats mais je ne perçus à aucun moment le bruit de la chasse d'eau. Et pour cause. La Maîtresse m'ordonna de les rejoindre devant les gogs, ce que je fis en rampant. Elles m'attendaient fièrement devant la porte des toilettes. "Avant de tirer la chasse d'eau et d'évacuer tout ce que je viens de déverser, il est indispensable que tu viennes admirer! Approche-toi et mets ta tête dans ce chiotte!".
j'obéis. La cuvette était remplie de papier toilette mais je discernais tout de même le joli liquide jaune qu'Elle venait d'uriner. Les deux Dominatrices se mirent à me donner des claques sur le dessus du crâne tandis que je scrutais attentivement le liquide doré. La Maîtresse me donna soudain un nouvel ordre. " Comme tu peux le constater, je n’ai pas pu contrôler mon puissant jet! J'en ais mis un peu partout à coté. Alors, tu va nettoyer toute ma pisse sur le rebord de la cuvette! Dépêche-toi! ».
j’avais honte de me soumettre à cette besogne dégradante devant l’Invitée, mais j’en avais reçu l’ordre. je lapais avec application chaque recoin de la cuvette pour déguster la délicieuse urine de la Maîtresse. Ce fut un moment honteux mais tellement plaisant. La Maîtresse en profita pour m’accrocher un collier en cuir relié à une laisse et, après avoir bien nettoyer, Elle m’entraîna à nouveau dans le salon. Elle me jeta littéralement au sol en m’écrasant la tête avec son pied. « A terre ! Reste là et regarde-moi! Si j’ai pu me soulager aux chiottes, ce n’est pas le cas de mon amie ! Alors, tu peux t’estimer chanceux car Elle va t’offrir sa belle douche dorée! ».
L’Invitée se plaça donc tranquillement au dessus de moi, m'exposant sa petite chatte bien taillée, et projeta tranquillement son filet jaunâtre sur mon visage. j’ouvris machinalement la bouche pour avaler ce liquide, mais malgré toute ma bonne volonté, la quantité était trop importante et je ne pus absorber tout le reste. Elle prit donc plaisir à m’arroser totalement la face, jusqu'à la dernière goutte. La Maîtresse, après avoir bien observé toute la scène, lui tendit un rouleau de papier toilette. Elle l'utilisa pour s’essuyer le sexe et sans aucun scrupule, jeta les feuilles sales sur mon visage d’un geste dénigrant. je n'y voyais plus grand-chose mais j’entendais quand même la Maîtresse m’informer de la suite. « Tu es vraiment pitoyable ainsi, mais ça t'apprendras! Tu vas maintenant rester comme cela durant une heure! Nous allons en profiter pour prendre un bon café ! ».
En demeurant allongé de la sorte au milieu de la pièce face aux deux Dominatrices, je venais de perdre le peu de dignité qui me restait. Cette situation était si avilissante qu’elle en devenait étrangement excitante. Pour tuer le temps, j’essayais d’écouter leur discussion mais ma concentration était troublée par cette odeur d’urine qui recouvrait entièrement mon visage. Il y eut ensuite une agitation du coté des deux Dominatrices. je sentais qu’il allait se passer encore quelque chose, mais quoi? « Relève-toi, petite salope, et va te laver la figure ! Une fois que tu seras un peu plus propre, tu viendras nous rejoindre dans l’Antre! ».
j'étais soulagé de pouvoir me nettoyer le visage. Lorsque je descendis, je vis les deux Dominatrices à quatre pattes sur la grande table. je fus franchement surpris de cette présentation inhabituelle. Le spectacle était naturellement très bandant mais je ne savais pas vraiment quoi faire à ce moment précis. La Maîtresse me montra alors du bout du doigt son petit anus. « Viens ici ! Viens nous renifler le cul et le lécher comme un chien que tu es! ».
je m’approchais en premier de ma Maîtresse et descendit amoureusement son leggins jusqu’aux genoux. Elle retira sa culotte et écarta ses fesses pour m’offrir son superbe sphincter. je me mis immédiatement à le sniffer avec une certaine émotion et je glissais ensuite lentement ma langue au bord de ce petit trou. Elle m’attrapa soudain la tête et me frotta le visage sans scrupules, comme un vulgaire gant de toilette. « Arrête de faire ta lopette et enfonce bien ta langue dans mon trou du cul! C’est de cette façon que tu dois me lécher! ».
je me retrouvais donc complètement écrasé entre ses fesses et ma langue avait un peu de mal à suivre le rythme donné par la Maîtresse. je n’avais pas un seul moment de répit. Elle m’ordonna ensuite de m’occuper de celui de son amie. je soulevais donc la robe de l’Invitée sans me douter un instant que celle-ci ne portait rien en dessous. Pour s’assurer que j’effectuerais correctement ma tâche, La Maîtresse se leva à coté de moi et m’enfonça violement le nez à l’intérieur de l'anus. Après avoir dégusté son petit croupion, les Dominatrices s’empressèrent d’accrocher chacune à leur taille un gode ceinture. La Maîtresse prépara mon anus en le doigtant de manière agile avec de la vaseline. je me retrouvais désormais à quatre pattes entre les deux gouvernantes et la pression montait. C'était la première que j'allais subir une double pénétration. L’Invitée, qui se trouvait face à moi, fourra donc son toy dans ma bouche, tandis que la Maîtresse poussa lentement le sien dans mon anus. « Je vais te défoncer le cul, sale chienne ! Tu ressemble tellement à une petite salope en chaleur habillé de la sorte, que je vais t’enculer comme tu le mérite ! ».
Elle exerça donc des va-et-vient de plus en plus rapide entre mes fesses. je gémissais de douleur mais ma voix était couverte par l’autre gode, car l’invitée s’adonnait Elle aussi à des allers-retours puissant au fond de ma gorge. Les dominatrices se regardaient de temps en temps d’un air satisfait tout en commentant la punition qu’Elles me faisaient subir. Elles alternaient gifles et fessées afin d’augmenter un peu plus ma pénitence. Afin de profiter pleinement de mon corps, Elles échangèrent de place et mon châtiment reprit de plus belle. Malgré cette souffrance intense, je ressentais un étrange plaisir. Les coups violents contre mon cul me procuraient une sensation douloureusement jouissive, ce qui prouvait que les deux Maîtresses n'étaient pas novices en la matière. Elles savaient très bien manipuler leurs grosses verges en plastique. Mais j’avais tout de même hâte que cette punition se termine. La séance dura un bon quart d’heure, non-stop. Elles me libérèrent enfin de leurs jouets tout en contemplant le résultat. « Je crois qu’il a eut son compte cette fois ! Cette petite allumeuse à eut ce qu’elle méritait ! » - « Oh mais je suis sûre qu’il a aimé se faire bourrer le cul comme une chienne ! Regarde, il est tout dilaté ! ».
Tout en inspectant mon anus défoncé, Elles s’amusèrent à le recouvrir de crachats chauds. je repris peu à peu ma respiration car je savais pertinemment que les Dominatrices ne s’arrêteraient pas là. C'est ainsi que je dû me pencher à leur pieds pour baiser leurs chaussures en guise de remerciement pour la sanction qu’Elles venaient de m’offrir. « Retire nos escarpins et occupe-toi de nos pieds maintenant! Tu va pouvoir te régaler de leur odeur et de leur transpiration ! ».
Cette douce soumission se présentait à moi comme un cadeau, une récompense. j'étais désormais soulagé de leur sodomisation et je pris donc un grand plaisir à chouchouter leurs petits pieds. je retirais une à une leurs chaussures, les posaient délicatement à terre et, sans les toucher, je me mis à renifler intensément la voûte de leurs pieds. La soirée avait été si intense que l'odeur était exquise. Ils dégageaient une chaleur envoutante dans un subtil mélange de nylon et de cuir. je les massais par la suite pour détendre mes deux Maîtresse. Elles poussaient d'ailleurs de longs soupirs de joies à chaque passage de mes doigts sur leurs pieds moites. Leurs gémissements étaient proches de la jouissance et, à mon tour, je fus envahi de ce bonheur excitant. Lorsque je pris soin de passer ma langue sous leur voûte, je découvris une délicieuse saveur salé due à la transpiration. Leurs pieds n'étaient pas sales mais le nylon c'était imprégné au fur et à mesure de sueur. Tout en me délectant de ces merveilleux arômes, j'imaginais l'odeur extraordinaire qui devait se dégager de leurs escarpins. Elles m'ordonnèrent ensuite de retirer leurs bas, ce que je fis avec précaution et délicatesse. Elles exhibèrent ainsi devant mes yeux leurs beaux orteils vernis d'un rouge pâle. « Nos pieds doivent être sales! Nettoies-les méticuleusement et lèche bien entre chacun de nos doigts de pieds! »
C'était un bonheur de m'atteler à cette tâche. je commençais par sucer tour à tour le bout de leurs pieds chauds. Un régal. Mais le délice ne s'arrêta pas là. Au moment de glisser ma langue entre les orteils de la Maîtresse, je sentis un petit goût amer envahir mon palet. En effet, les petits résidus de sueur séchée s’étaient accumulés entre chaque doigt de pied, ce qui donnait cette saveur si particulière. je nettoyais pourtant avec amour ces pieds légèrement crasseux car cela m'excitait de savoir que j'avalais un peu de sécrétion de la Maîtresse. je fis de même pour l'Invitée qui avait, Elle aussi, un peu de saleté entre ses orteils. Les dominatrices profitaient généreusement de cette séance tout en me critiquant. Son amie s'en donnait même à cœur-joie. « C'est une vraie petite chienne! Il bande comme une salope en léchant la crasse sous nos pieds! C'est pitoyable! » - « Dis-toi que c'est un honneur pour lui! Un véritable soumis doit se contenter de la saleté des pieds de sa Maîtresse! Et cette larve sait que s'il veut m'appartenir, il doit savoir apprécier ce genre de traitements!».
La Maîtresse était sévère mais disait vrai. je finis d'ailleurs cette séance en embrassant amoureusement leurs pieds afin de les remercier de ce cadeau. La soirée s'acheva et nous dûmes raccompagner l'Invitée sur le pas de la porte. "J'ai passé une très bonne soirée! J'espère que nous pourrons remettre ça une prochaine fois!" - "Avec plaisir! Tu es toujours la bienvenue et mon soumis sera toujours à ta disposition!".
A suivre...
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Très bien écrites, tes histoires. Merci de partager :-)