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PART 1 Formation à la soumission
Je me trouvais chez une maîtresse que j'avais sollicité la semaine dernière afin d'être dressé par ses talents. Elle me fit entrer dans sa demeure et à peine j'avais franchis le pas de la porte que je la découvrais dans une tenue plutôt décontractée mais qui lui allais à merveille. Elle avait revêtu un débardeur et un leggins noirs recouvert d'une petite jupe. J'avais discerné également qu'elle portait des bas ou un collant couleur chaire et ses jolis pieds étaient galbés dans de superbes chaussures à talons haut. Grace à nos différentes discutions passées, elle savait que j'étais un fétichiste et grand sniffer. Mon dressage commença instantanément car au bout de quelques secondes, je reçu une gifle. " Lorsque tu te présente devant ta maîtresse tu dois te mettre à genoux! Je vais t'apprendre le respect! Et baisse les yeux! Tout ce que je t'autorise à regarder, ce sont mes pieds, compris?".
Elle me jeta au visage un collant qui n'était apparemment pas très propre. Tout en le scrutant, elle m'expliqua d'un ton sec ce que je devais en faire. " C'est un vieux collant que je ne porte plus car il est sale et craqué. Je l'ais porté la semaine dernière tous les jours sans me laver les pieds pour te l'offrir! Alors tu va l'enfiler immédiatement! De toute façon, tu devras toujours en porter un lorsque tu sera avec moi!"
Le ton était donné. Je savais que je serais traité comme un bon à rien mais je n'imaginais pas encore toute les humiliations que j'allais subir. Je mis le collant sur moi avec une certaine honte tout en sachant que je n'avais pas vraiment le choix." Maintenant, tu va retirer mes escarpins! Et fais attention de ne pas filer mes mi-bas!".
J'étais heureux de pouvoir être au service de cette maîtresse mais je ne me doutais pas encore de ce qui allait m'arriver. J'obéis à ce premier ordre et je retirais ses chaussures délicatement par peur de représailles. Je me retrouvais avec ces deux magnifiques escarpins dans chacune de mes mains et je les observais comme des trophées. « Qu'est-ce que tu attends ? Renifle, espèce de larve ! Je n'ais pas transpiré dedans toute la journée pour que tu te contente de les mater comme un pervers ! Je sais que tu aime ça, alors imprègne-toi bien de cette mauvaise odeur! ».
Le fumet qui se dégageait de ses chaussures était effectivement puissant. Lorsque j'eu plongé mon nez à l'intérieur de ces superbes attributs féminins, je sentis immédiatement mon sexe se dresser en s'écrasant dans mon collant. Les relents de cuir usé et de nylon humide pénétraient rapidement mes narines au fur et à mesure que je les sniffais. Je n'osais pas lui dire que ces chaussures puaient car pour être honnête, j'aimais beaucoup cette odeur de renfermé. « Habitue-toi à cette odeur car à partir de ce soir, tu dormiras dans mon placard à chaussures et je t'attacherais l'un de mes escarpins bien odorant sur ta petite gueule d'esclave afin que tu conserve cette odeur de pied toute la nuit jusqu'au petit matin ! En attendant, il va falloir que tu astique l'intérieur de mes chaussures ! Tu ne voudrais tout de même pas que je glisse mes pieds sur des semelles aussi dégoutantes ? Lèche-les ! Je sais que ce n'est pas ce qu'il y a de plus savoureux, mais ce sera ton seul repas pour ce soir ! ».
La texture sous ma langue était râpeuse, salée et amer. Pendant que je me délectais de cette saveur repoussante, elle s'amusait à m'envoyer des gifles avec son pied gauche. Les coups étaient si violents que ma tête valsait et j'avais donc du mal à m'appliquer correctement à ma tache, ce qui semblait exaspérer ma maîtresse. « Dépêche-toi et nettoies-les bien ! C'est le minimum qu'un soumis comme toi peut faire pour sa maîtresse ! ». Ma langue et ma bouche commençait à être totalement imbibées de l'humidité dû à la transpiration de ses pieds et recouvert du dépôt crasseux que je retirais petit à petit de ces semelles. « C'est bon, hein ? Plus c'est sale plus tu aime, n'est-ce pas ? ».
Je ne disais rien pour ne pas la froisser et malgré l'humiliation, lécher ses semelles usagées était vraiment excitant. Mon sexe était d'ailleurs de plus en plus compressé dans mon collant au point qu'il me faisait légèrement souffrir. Elle pose alors son pied droit contre ma bite en effectuant une pression. Ce geste de mépris était un peu douloureux mais également agréable car le fait de sentir sa voûte chaude sur ma verge me provoquait une certaine jouissance."Maintenant tu va nettoyer mes mi-bas! Ils sont tellement pleins de sueur que tu va te régaler! Ils ne sont pas de grande qualité mais c'est largement suffisant pour toi! Tu ne mérite pas encore de profiter de mes beaux collants!".
J'avais à peine le temps de respirer l'air pur et de souffler un peu qu'elle me colle son pied sur le visage. Elle alluma la télé et allongea ses jambes sur la table basse. Ses mi-bas étaient vraiment très sales et elle avait tellement sué que ses semelles avaient déteint sur le nylon, laissant ainsi de belles traces colorées. Je lapais ses pieds comme un chien de haut en bas, en insistant sur ses orteils vernis que je trouvais vraiment sexy. Elle ne faisait aucun effort et j'étais ainsi obliger de me contorsionner pour pouvoir accéder dans chaque recoin de ses pieds. L'odeur était là aussi très forte mais, par pur gourmandise, je me permettais de renifler ce parfum excitant de nylon humide, chaud et sale." Tu aime ça mon salop! C'est amusant de te voir renifler mes pieds alors qu'ils puent! Je les sens d'ici d'ailleurs! J'ai raison de te traiter comme un vulgaire soumis, car ta place est bien à mes pieds!".
Après avoir passé une bonne quinzaine de minute à récurer ses mi-bas, elle inspecta ses pieds mais elle semble insatisfaite. "Il y a encore des traces sur mes bas! Tu es vraiment un bon à rien! Il va falloir que je te dresse plus sévèrement!". Je tentais de me justifier en lui signalant que ces traces étaient incrustées dans le nylon et qu'il était impossible de les retirer. Elle ne m'écouta absolument pas et remit ses chaussures. C'est alors qu'elle saisit d'une laisse et me l'attacha au cou. Elle se releva élégamment et m'ordonna de m'allongé sur le dos le long du canapé. Elle s'assit ensuite sur moi, en écrasant son fessier sur mon visage. Mon nez était plongé dans l'orifice de son anus et je pouvais ainsi sentir toute son odeur. Durant une bonne dizaine de minute, la maîtresse ne changea pas de position, trop occupé à lire son magazine. Mais d'un seul coup, je sentis ses fesses se contracter, puis dans un petit sifflement, elle laissa échapper un pet bien odorant directement dans mes narines. Le fumet était nauséabond et j'avais du mal à respirer."Je me retenais depuis quelques minutes mais là, il fallait que ça sorte! Alors autant t'en faire profiter! Je suis sûre que tu adore! C'est tellement un honneur pour toi! De toute façon, à chaque fois que j'aurais envie de lâcher un gaz, je te le ferais partager! Et tu auras intérêt à me remercier! Tiens, en voila un autre! Branle-toi en même temps pour me montrer du respect!".
Ce deuxième pet était aussi odorant que le premier. Je me masturbais pour la remercier même si ce fumet qui m'envahissait le visage était exécrable. Après s'être soulagé une troisième fois, la maîtresse se relève et me tire du bout de la laisse me contraignant à me traîner à quatre pattes derrière elle. Je la suivis de cette manière jusqu'à la cuisine." Prépare-moi un bon repas! Et ne me fais pas trop attendre! J'ai faim! Quand ce sera prêt, tu viendras me prévenir et j'irais manger dans la cuisine".
Sans perdre de temps, je mis ainsi mes quelques notions de cuisine à l'œuvre pendant qu'elle se détendait tranquillement sur le canapé du salon. Je lui préparai un filet de saumon accompagné d'un riz thaïlandais pour éviter que l'attente ne soit trop longue. Une fois la cuisson terminée, je me présentais devant elle à genoux en l'invitant à venir dîner. Elle se leva, se dirigea dans la cuisine, et s'assit sur le tabouret de bar en cuir qui était placé devant le plan de travail." j'aime être assise sur cette chaise car elle est bien haute et te montre encore une fois ma supériorité".
C'est vrai qu'en la regarder d'en bas, j'avais l'impression de me prosterner devant une déesse. Elle inspecta son assiette d'un air étonné et mécontent."C'est un peu léger ce que tu m'as fait! Je t'avais dit que j'avais faim! Pour la peine, tu seras puni! Baise mes chaussures pendant que je mange cette espèce de bouillie!".
J'embrassais langoureusement le cuir de ses escarpins en veillant surtout à ne pas la déranger pendant son repas. Au bout de cinq minutes, j'entendis le bruit des couverts tombant dans l'assiette ce qui m'indiqua qu'elle avait terminé. Je fus pourtant surpris lorsqu'elle me redonna son plat, en m'ordonnant la bouche pleine de le tendre devant elle. Je tenais l'assiette dans mes deux mains quand elle recracha tout ce qu'elle avait dans sa bouche. Elle fini par lâcher également un joli filet de salive qui vint s'échouer sur la nourriture prémâchée."Regarde! Voila ce que tu as osé me servir! Cette bouillie est insipide! Pour la peine tu va finir mon assiette et je veux pouvoir me voir dedans!".
Je me forçais donc à avaler jusqu'au bout ce repas qu'elle venait de rendre. Le goût n'était pas mauvais mais ce qui me dérangeait le plus c'était cette texture informe. Je terminais en léchant le fond de l'assiette pour la rendre propre afin d'obéir à son ordre."Tu n'as pas intérêt à me resservir cette merde la prochaine fois!".
Elle descendit de son siège et me pressa le visage contre le cuir du tabouret qu'elle avait réchauffé. Elle partit dans sa chambre et retourna dans le salon sans rien dire, avec dans la main un collant noir. Elle s'assit en tailleur sur l'une des chaises près de la table, enfila son collant avec élégance tout en me lançant à haute voix un nouvel ordre." Je vais sortir avec des amies ce soir! Alors va me chercher mes bottes noires! Elles sont rangées dans le placard ou tu dormiras ce soir!". Je me trainais rapidement jusqu'à cet endroit confiné. En effet, je trépignais d'impatience de découvrir ce qui allait devenir mon nouveau dortoir. J'ouvris les portes. Bottes, escarpins collants et bas en tout genre était accumulés dans ce placard qui, au bout du compte, n'allais pas me laisser beaucoup de place pour dormir. Ce qui m'interpella immédiatement, c'était le parfum puissant et nauséabond qui envahissait la pièce. Ce placard avait tellement contenu de paires de chaussures portées jusqu'à leur épuisement, que les parois étaient complètement imprégnées de cette odeur de cuir chaud. Je pris les bottes en question et les amena à la maîtresse. Je fis une belle erreur en les posant à terre devant elle et je reçu immédiatement une gifle." Qu'est-ce que tu fais là? Tu crois que je vais me baisser? C'est ton boulot de les mettre à mes pieds! Dépêche-toi au lieu de me regarder avec tes yeux de chien battu!".
J'enfilais ses superbes bottes avec précaution pour ne pas filer son collant. Le bruit fantastique de la fermeture éclaire que je remontais lentement me provoqua une certaine excitation, que je ne pouvais évidemment pas cacher. Mon sexe se retrouva une fois de plus compressé dans mon collant et l'envie de me masturber devenait de plus en plus obsessionnelle. Elle me donna encore une gifle et me repoussa violement en arrière à coup de semelle sur ma joue." Tu bande espèce de chien! Mais tu ne pourras te branler que lorsque je t'en aurais donné l'autorisation! Et n'essaye pas de le faire pendant que je serais partie car la maison est truffée de caméra, notamment dans ton placard! Donc je le saurais! Bon, il est l'heure que j'y aille! Va te coucher dans ta chambre!".
La maîtresse m'accompagna jusqu'au placard, en retira un escarpin et me l'attacha solidement sur mon visage à l'aide d'un vieux collant filé qui traînait à coté. J'étais une nouvelle fois humilié mais je trouvais cet avilissement excitant. C'est avec difficulté que j'arrivai à me faire ensuite une petite place entre deux paires de chaussures. Elle referma les portes et j'entendis ensuite le son d'un verrou. Je me retrouvais donc enfermé dans la pénombre à respirer ce parfum de semelle et de cuir malodorant. La maîtresse partit rejoindre ses amies en claquant la porte. J'eu un peu de mal à trouver le sommeil car ma position n'était pas vraiment confortable mais je m'endormis tout de même au bout d'un certain temps. La nuit fût courte car aux alentours de cinq heures du matin, la maîtresse vint me réveiller. Elle venait tout juste de rentrer d'une soirée v.i.p. et avais besoin de mes services. Elle ouvrit les portes et écrasa ses semelles sur mon pauvre sexe en prenant soin d'essuyer toute la crasse sur mon collant. Le réveil fut donc brutal et je sortis du placard avec une certaine douleur. Elle m'ordonna d'enlever la chaussure qui recouvrait mon visage et s'assit sur le canapé." J'ai passé une excellente soirée! Je suis fatiguée, alors tu va t'empresser de retirer mes bottes pour commencer!".
J'obéissais en m'appliquant malgré le peu d'heure de sommeil. Pendant que j'ôtais ses bottes, je reçu plusieurs crachats sur mon visage qui glissèrent rapidement le long de mes joues. Tout en les retirant, je sentis un vent chaud et humide se dégager." Tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant! Renifle la bonne odeur des bottes de ta maîtresse!" Je plongeais immédiatement mon nez au fond de sa première botte et je pris plaisir à inhaler les relents de cuir chaud et moite. Tout m'indiquait qu'elle avait passé la soirée dans la chaleur d'une salle et qu'elle avait même dansé. Je restais ainsi dans cette odeur nauséabonde pendant cinq minutes quand elle m'ordonna de passer à la suivante. La puanteur qui régnait à l'intérieur était évidement la même et je ne pus m'empêcher de me caresser discrètement le sexe à travers mon collant. Elle me gifla, m'ordonna de m'allonger devant sa chaise, se mit debout et m'écrasa ensuite ses pieds nylonnés sur la tête. Elle fit quelques pas sur mon torse, puis donna quelques coups de pieds sur ma bîte bien dure. La douleur était insupportable et je poussais quelques cris pour la supplier d'arrêter." Tu es une merde à mes pieds et je fais ce que je veux de ton corps! Je n'ais aucune considération pour toi alors je te traite comme un vulgaire paillasson si j'en ai envie! C'est tout ce que tu es à mes yeux! Tu devrais être honoré! C'est compris sale esclave!".
Je subis cette torture pendant quelques secondes. Elle se rassit et me força à ouvrir la bouche pour y enfoncer l'un de ses pieds bien humides. Je dégustais cette saveur salée avec bonheur, mais je fus rapidement étouffé lorsqu'elle pressa son autre pied contre mon nez en faisant gigoter ses orteils et en me griffant de ses ongles vernis. Voyant que je suffoquais réellement, elle enleva ses pieds." Mes pieds ne te plaisent pas? En tout cas, tu va me les laver avec ta pauvre langue de chien soumit pour retirer toute cette sueur! Il est hors de question que j'aille me coucher avec des pieds pleins de transpiration!". Elle retira lentement son collant sous mon regard attentionné. Une fois Ôter, elle me présenta ses pieds nus et ma langue, maintenant habituée, se mit au travail. Je la glissais sous sa voûte jusqu'au talon." Lèche bien mes petits doigts de pieds surtout! C'est souvent là qu'il y a le plus de crasse! Et je t'autorise à te branler! Je veux que tu éjacule dans ton collant!".
J'étais heureux de pouvoir enfin me masturber. Sans hésiter, je glissais ma main droite sous le nylon et empoigna mon sexe avait bonheur. Pendant que j'exécutais mes va-et-vient le long de ma verge, je m'occupais également de nettoyer ses pieds en passant délicatement ma langue entre chaque orteil. Les quelques saletés qui résidaient entre ses doigts de pieds ne me provoquai même plus de dégoût tellement j'étais exciter en me masturbant." Tu es vraiment ridicule! Te voir bouffer la crasse de mes pieds en te branlant, c'est pitoyable! J'ai pitié pour toi!". Peu importe les insultes qu'elle pouvait m'envoyer, j'en redemandais encore et encore. La pression avait été si grande durant toute la journée que je sentis la pression monté rapidement. Je ne pouvais plus me retenir et je me mis à lâcher tout mon jus avec soulagement. Mon sperme s'écrasa lamentablement sur le nylon de mon collant. J'étais complètement souillé de ma sécrétion, ce qui semblait amuser la maîtresse." Regarde-toi sale esclave! Tu viens de te gicler dessus comme une merde! C'est vraiment humiliant! Mais je tiens à te signaler que tu va retourner te coucher ainsi ! Je veux que tu garde ton collant pour que ton sperme sèche et que tu te réveille avec demain matin! D'ailleurs, il est l'heure! Files dans ta niche!"
J'exécute en retournant dans mon placard, l'entrecuisse toute mouillée. Le lendemain, je fus réveillé par la maîtresse qui m'envoya directement dans la salle de bain. La première chose qui me sauta aux yeux, c'était les quelques collants sales qui pendaient sur une corde à linge. Je reconnu d'un coup d'œil celui qu'elle avait porté la veille, et en m'approchant je remarquais surtout que gisait dans l'une des jambes une brosse à dent avec l'inscription - pour mon esclave-. La maîtresse entra à son tour dans la salle de bain et éclata de rire en voyant mon visage plein de stupéfaction. "Comme tu peux le voir, j'ai pris soin d'étendre mon collant avant de me coucher pour que la sueur ais le temps de sécher. Et j'ai laissé tremper ta brosse à dent à l'intérieur afin qu'elle s'imprègne de l'odeur et du goût de mon collant sale! C'est d'ailleurs une brosse à dents que j'ai usé personnellement auparavant! Alors tu as intérêt d'en prendre soin! Maintenant tu va l'utiliser en la laissant dans le collant! Ta bouche pourra plus facilement s'imprégner de l'odeur de mes pieds!"
A suivre...
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PART 2 Début du dressage
J'éprouvais évidement une certaine humiliation en me nettoyant les dents de cette façon mais cette honte fut rapidement oublier lorsque je découvris la délicieuse sensation de son collant dans ma bouche. La transpiration en séchant avait rendu le nylon croustillant et bien odorant, et par conséquent, ma bouche dégageait une haleine de pieds sales qui ne me laissait pas insensible. Une fois terminée, j'entendis la maîtresse m'appeler depuis les toilettes. Elle avait laissé la porte ouverte et m'attendais de pieds ferme, la culotte baissée au niveau des genoux au dessus de la cuvette. "J'ai faillis perdre patience! Sache que j'exige de toi que tu sois présent chaque fois que je me rendrais aux chiottes! Peu importe ce que j'y fait, tu dois y assister ! Comme tu peux t'en apercevoir, il n'y a pas de papier toilette! Ta langue sera suffisante! Tu devras donc me lécher la chatte après avoir pisser et me lécher le cul après avoir chier!"
Tout en m'expliquant mes nouvelles besognes, elle laissa échapper un joli filet doré. J'observais la scène, le sexe bien dressé, attendant avec impatience de pouvoir la nettoyer. En tombant, les dernière gouttes sonnèrent l'instant tant attendu. "Maintenant lèche bien toute la pisse sur ma chatte!! Et quand tu auras fini, je veux que tu plonge ta tête dans la cuvette pour regarder ce que je viens de déverser! C'est un rituel auquel tu n'échappera pas!".
Je nettoyais avec amour son sexe trempé et le goût salé et amer de son urine était délicieux. Je me penchais ensuite dans la cuvette pour observer le reste de ce liquide admirable. L'effet fut immédiat et je me mis à me caresser le sexe discrètement à travers mon collant sale. La maîtresse me tira soudainement par les cheveux jusqu'à la cuisine et m'ordonna de lui préparer son petit déjeuner. Nous étions dimanche matin et je savais que ce serait la dernière journée que je pourrais passer en sa compagnie, du moins jusqu'au week-end prochain. Je fis couler un bon café chaud et lui prépara de belle tartine de brioche grillé recouverte d'une confiture aux framboise. Pendant que je m'appliquais à lui rendre ce premier repas de la journée le plus agréable possible, elle en profita pour s'habiller tranquillement dans sa chambre. Quand je l'ai vu revenir dans le salon, ce fut un choc. Elle avait enfilé une sorte de body noir en dentelle très moulant qui galbait magnifiquement ses seins et portait un joli foulard noué autour de son cou. La jupe droite et serrée jusqu'au niveau des genoux cachait de magnifiques bas ornés d'une couture très sexy. Elle n'avait pas oublier de mettre les belle chaussures à talons, qu'elle avait déjà enfilé la veille, pour me montrer une fois de plus toute sa supériorité. Elle ressemblait à une déesse pleine de classe et de sex appeal. "Je suis excitante, n'est-ce pas? Par conséquent, il va falloir m'honorer comme il se doit! Pour le moment, tu va t'allonger sous la table pendant que je prends mon petit déjeuner! J'aime pouvoir me détendre tranquillement et avoir un repose-pied! Je vais te dresser pour un être un homme-objet obéissant!".
Elle tenait dans sa main une culotte sale qui, visiblement, était celle qu'elle avait porté depuis hier. "Ouvre la bouche! Je ne veux pas t'entendre!".
Elle enfonça sans retenue sa culotte encore moite dans ma gorge pour me bâillonner et me gifla. Je me glissais ensuite comme prévu sous la table, près de la chaise ou était en train de s'assoir la maîtresse. Elle posa ses pieds sur mon visage en essuyant lentement les semelles de ses escarpins sur mes joues. Pendant qu'elle buvait sereinement son café, elle feuilletait un magazine qui semblait par ailleurs la passionné.
Durant quinze minutes, la maîtresse n'eut aucune attention à mon égard comme si je n'existait pas. Je n'étais pas vexé, bien au contraire, car je pouvais profiter de ses chaussures écrasées contre mon visage et le fait de pouvoir lui servir de paillasson m'enchantais. Le goût salé de sa culotte dans ma bouche était lui aussi exquis. J'étais fier de pouvoir la servir. J'entendis soudain un bruit étrange et je vis sa main déposer à terre près de moi son bol de café. "Je ne suis pas ingrate! Tu as le droit toi aussi à ton déjeuner car il faut que tu prennes des forces!".
Elle ôta ses pieds de mon visage et lorsque je vis le contenu de ce bol, je fus ravis. Elle venais de me donner, comme à son habitude, quelques bouchées de tartines pré-mâchée qu'elles venait de recracher lamentablement dans un fond de café froid. Je me mis à quatre pattes et s'empressa de déguster cette bouillie comme un cadeau précieux. Il ne restait plus une miette quand la maîtresse m'ordonna de la suivre à nouveau dans la salle de bain. Je ne savais pas encore ce qui allait m'arriver mais peu importe. J'attendais avec impatience à genoux dans la pièce, jusqu'au moment ou elle prit sa corbeille à linge sale et la renversa sur le sol. Il y avait devant moi un tas de vêtement en tout genre mais surtout de la lingerie usagée. Elle sortit de ce monticule un collant noir assez sale et me le donna. " Tu va te changer et enfiler ce collant car à force de transpirer et d'éjaculer dans le tiens, tu commence à sentir mauvais!".
J'étais fier de pouvoir revêtir un de ses collants même si celui-ci n'était pas de toute fraîcheur. J'aimais tellement sentir le nylon dans lequel elle avait suer et laisser son odeur corporelle. Une fois changé, elle me commanda d'aller faire une lessive avec tout le linge sale restant et de ranger le propre. Elle attrapa son sac à main et partit fièrement de la maison sans me préciser ou elle allait, ni pour combien de temps elle serait sortit. Je m'attelais à la tâche et je pris un plaisir immense à remettre son linge sale dans la corbeille. Je descendis dans la buanderie et je fus agréablement surpris de voir que les murs étaient pourvu de crochets, d'attaches et de menottes en tout genre. Au milieu de la pièce gisait un chaise apparemment inconfortable et sur laquelle pendait encore des lanières en cuir. Je ne mis pas beaucoup de temps pour m'imaginer ligoté sur cette chaise subissant les punitions de la maîtresse. Au fond de la buanderie, je vis la machine à laver. Tandis que je m'approchais, je scrutais l'intérieur de la corbeille que je tenais avec une certaine excitation. En effet, j'avais entre les mains un trésor. J'ouvris le hublot mais avant d'y placer le linge, je pris plaisir à sniffer chacune de ses culottes sales une par une. Certaines avait encore quelques traces de sécrétions délicieuses. Je fis de même pour ses collants, ses bas et mi-bas. La tentation était vraiment forte de me masturber car ces odeurs étaient absolument divines, mais je savais que la maison étaient truffées de caméra. Je ne voulais pas froisser la maîtresse et donc je poursuivis simplement mon petit jeu de reniflage jusqu'à vider entièrement la corbeille. Soudain j'entendis la porte d'entrée claquer, ce qui signifiait que la maîtresse venait de rentrer. Elle m'appela en criant. Tout en remontant l'escalier pour la rejoindre, je réalisais que j'avais perdu beaucoup de temps à sniffer ses attributs et que je n'avais, par conséquent, pas eu le temps de ranger ses affaires propres. J'étais enfin arriver dans le salon et la maîtresse m'attendait, les mains posés sur les hanches et le visage plein de colère. " Qu'est-ce que je t'avais demandé? je viens de m'apercevoir que mes vêtements ne sont pas rangés! Qu'est-ce que tu as foutu espèce de bon à rien?".
J'essayais de justifier mon erreur en lui expliquant que j'avais eu du mal à trouver la machine à laver et que je voulais également manipuler ses affaires avec respect pour les mettre délicatement, une par une, dans la machine. Mon excuse n'était pas vraiment convaincante et je fus immédiatement remis à ma place. "Je ne veux pas le savoir! Tu n'as pas à prendre des initiatives! Tu dois seulement m'obéir au doigt et à l'œil! Peu importe la manière, tu aurais dû avoir fini à mon retour! Tu es une larve incapable, c'est tout! Je ne vais pas me privé de t'infliger une bonne punition, sale chien! Dépêche-toi de finir tes besognes et rejoins-moi dans la buanderie quand tu aura fini!".
Je m'empressais de ranger correctement toute la pile de vêtement en les pliant avec précaution, puis je descendis l'escalier d'un pas timide. La maîtresse m'attendait debout, derrière la chaise en question. Elle s'assit dessus, puis claqua des doigts en m'ordonnant de venir à quatre pattes devant elle. Elle me prit le visage par le menton et me rossa d'une dizaine de gifles assez puissantes. Mais joues étaient devenues rouges mais je ne bronchais pas car je savais que je le méritais. "Je déteste qu'on n'exécute pas mes ordres, compris! Maintenant, allonge-toi sur mes genoux et baisse ton collant pour me montrer ton cul!".
A peine ais-je le temps de lui offrir mes fesses, qu'elle m'envoya une bonne dizaine de fessée bien puissantes. Mon pauvre fessier était devenu rouge mais j'étais tout de même exciter à l'idée d'être punis de la sorte. Mon sexe se mit à grossir au fur et à mesure que je recevais mes coups et la maîtresse sentit instantanément cette érection sur ses jambes. " Mais tu bande sale chien! ça t'excite de recevoir des fessées hein? Je vais te calmer tout de suite!".
Elle me jeta littéralement par terre et se releva. Je dû prendre place à mon tour sur la chaise. je fus immédiatement ligoté avec les lanières en cuir de la tête au pieds, ce qui me mit dans une position d'impuissance totale. Elle se mit à tourner autour de moi en faisant bien claquer ses talons sur le sol. Puis, sans rien dire, elle sorti de la pièce et revint une minutes plus tard, sans sa jupe mais harnachée d'un gode ceinture. Elle tira une sorte de petit estrade qu'elle posa à coté de ma chaise. Au moment ou elle monta dessus, je me rendis compte que son sexe en plastique arrivait exactement à hauteur de mon visage. " Je te présent mon ami le gode! J'aime l'utiliser également pour moi et je ne lave jamais après. Tu va pouvoir te régaler de toute la mouille que mon sexe à laissé dessus!".
Sans perdre de temps, elle fourra l'objet dans ma bouche avec ardeur. Le gode avait en effet perdu tout son goût désagréable de plastique et avait désormais la saveur de ses sécrétions vaginales, ce qui était vraiment délectable. La maîtresse me défonçait la bouche de ses va-et-vient tout en me tenant la tête pour que je ne puisse pas bouger. Cette soumission semblait lui faire plaisir car elle souriait et riait en me regardant. La séance de pénétration buccale fut assez longue. La maîtresse voulait me montrer toute sa suprématie et me faire comprendre que je devais impérativement obéir à ces ordres. "Sache que la prochaine fois que tu me désobéiras, ta punition sera de me supplier de te prendre par le cul! Tu as compris?".
Elle m'envoya une dernière gifle et me libéra enfin de mes liens. Je dû ensuite embrasser le cuir de ses chaussures pour la remercier de cette punition.
A suivre...
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PART 3 Fin du premier rendez-vous
Il était l'heure de préparé à nouveau le repas. sans me faire prier et peut être aussi pour me faire pardonner, je cuisina une petite recette de produits sains et pleins de vitamines. Comme à chaque fois, je patientais amoureusement sous ses pieds tel un paillasson pendant qu'Elle dégustait son déjeuner. j'eus bien sure le plaisir de savourer ses restes comme un chien, mais cette fois-ci ce fut encore plus délicieux. Et pour cause, après avoir déposé l'assiette par terre, Elle écrasa sa semelle sur la bouillie et me tendis son escarpin. "Lèche sale esclave! Nettoie bien la semelle de ma chaussure! Je veux avoir l'impression qu'elle est neuve! Et je suis certaine que ton repas sera encore meilleur avec cette crasse!"
Ce mélange n'était pas vraiment digeste mais j'étais tellement honoré de pouvoir goûter à ses chaussures que je lapais avec plaisir. Une fois bien propre, Elle m'ordonna de terminer ma gamelle. La Maîtresse partit alors dans la buanderie sans se préoccuper de moi car Elle savais que je finirais entièrement ma bouillie. j'eu as peine le temps de lécher le fond de l'assiette qu'Elle était déjà revenu, les mains chargés de lien en tout genre. Avant de savoir ce qui allais m'attendre, je dû débarrasser la table et faire la vaisselle. Lorsque je revins dans le salon j'observais tout l'attirail étalé sur le canapé. Il y avait deux lanières en tissus noires et une paire de bas. Elle se posta devant moi et me demanda de me mettre debout contre le mur à coté de la télé. Elle m'attacha solidement les mains dans le dos et me ligota les pieds. Elle retira sensuellement le foulard autour de son cou et le fit glisser sur mon visage. Il était doux et très excitant. Sans prévenir Elle me l'enfonça violemment dans la bouche et entoura ma tête d'un bas en s'en servant comme bâillon. Enfin, Elle se servit de l'autre bas pour me bander les yeux. " De cette façon, tu es totalement à ma merci! Tu va comprendre que je n'ai aucun respect ni aucune considération pour toi! Tu es mon jouet, tu es ma chose! Vu que le temps est exécrable dehors, je vais tranquillement regarder un film. Pendant ce temps, je ne veux pas te voir bouger, c'est compris?".
j'étais plongé dans le noir dans l'impossibilité de parler mais je savais que je me trouvais exactement face au canapé et que, par conséquent, la Maîtresse m'observait constamment. Cette situation était vraiment humiliante et je dû resté ainsi durant une heure trente. A certains moment, Elle profitait de mon incapacité totale pour m'envoyer quelques insultes sous formes de questions, auxquelles je ne pouvais évidement pas répondre.
" tu es une belle petite salope, hein?"
" ça te plais d'être mon vulgaire objet, n'est-ce pas?"
" Tu voudrais que je te sodomise, c'est ça?"
A la fin du film, la Maîtresse se leva et me força à me cambrer contre la table du salon. D'un geste sec, Elle déchira mon collant au niveau de mes fesses. Elle crachat à multiple reprise sur un plug qu'Elle m'enfonça directement dans l'anus sans que j'ai eu le temps de souffler. "J'aime m'amuser avec ce genre d'objet et voir ton petit cul pénétré de la sorte! Et puis c'est une manière de te préparer à la bonne sodomie que je vais t'infliger tout à l'heure!".
Ses paroles résonnèrent dans ma tête et je ne pus m'empêcher de pousser un gémissement en imaginant ce que j'allais subir. Elle m'envoya une bonne fessée. "Tais-toi ou je te sodomise maintenant! ton cul m'appartiens, j'en fait ce que je veux! D'ailleurs, en parlant de cul, j'ai bien envie de te pisser dessus pour la peine!".
Elle me traîna jusque dans la buanderie en ayant auparavant libérer mes liens, ôter mon bâillon et le bandage sur mes yeux. Derrière un rideau se cachait une petite pièce qui était utiliser en guise de toilette. Le petit meuble qui faisait office de siège était pourvu d'une lunette mais ne possédait pas de cuvette, ni d'évacuation. Elle m'ordonna de me glisser sous le siège et j'aperçus ensuite à travers le trou béant son beau fessier ainsi que son sexe. "Admire mon cul, sale chien! Je vais déverser un beau filet doré sur ta pauvre gueule d'esclave! Je t'autorise exceptionnellement à te masturber en même temps!"
Cette situation était terriblement excitante et mon sexe se dressa immédiatement au vue de ce spectacle. je glissais ma main dans mon collant tandis que la Maîtresse ma lâcha au nez quelques pets bien odorant avant de m'offrir ce liquide si précieux. Ma tête était coincée dans ce petit compartiment et je n'avais pas d'autre chois que de recevoir toute l'urine sur mon visage. J'étais aux anges." Tu as de la chance, il y a du papier toilette ici!"
Elle essuya donc lentement les dernières gouttes sur sa chatte et jeta sans scrupules le papier sur mon visage. Elle referma ensuite le couvercle, me laissant ainsi savourer son odeur de pet et d'urine. j'étais tellement excité que je sentis peu à peu mon orgasme monter. je fus vite coupé dans ma joie lorsqu'elle vînt écraser sa chaussure sur mon sexe que je branlais. "Tu aimes ça mon salop! ça te plait que je te traite comme mon chiotte personnel, n'est-ce pas? Ne t'en fais pas, nous reviendrons souvent ici! En attendant, tu va arrêter immédiatement de te masturber et tu va monter te laver la figure!".
j'étais frustré de ne pas avoir pu éjaculer mais je savais que cela faisait partie de son jeu. Je ne pouvais de toute façon que lui obéir.
Après un court passage dans la salle de bain pour me nettoyer, je fus agréablement surpris d'entendre ma nouvelle tâche. La Maîtresse, assise confortablement dans le canapé, tenais dans sa main un verre de vin. Elle m'ordonna de venir près d'Elle afin de pouvoir étendre ses jambes sur moi. je m'empressais de lui faire ce plaisir et me mis rapidement à quatre pattes devant Elle. "Je sais que tu aime être mon objet alors j'ai décider que tu serais mon repose pieds pendant que je déguste ce très bon vin!"
Elle posa ses pieds sur mon dos et je dû rester ainsi pendant une bonne quinzaine de minutes. Ce fut un moment de pur bonheur mais également de douleur car Elle s'amusait régulièrement à enfoncer ses talons haut dans ma chaire. je souffrais en silence pour ne pas la mettre en colère. Soudain, dans un élan d'autorité, Elle m'annonça d'un ton sévère qu'Elle désirais rédiger un contrat. "Je pense que cette petite expérience que nous avons vécue depuis hier est un bon point de départ mais doit être concrétisée par un contrat. Je vais le rédiger moi-même et te le ferais parvenir durant la semaine afin que tu sois opérationnel pour le week-end end prochain! Tu devra en prendre connaissance et le mémoriser, mais tu ne seras en aucun cas autorisé à le contester! Il faudra le respecter à la lettre et toute faute commise sera sévèrement sanctionnée!".
je ne m'attendais pas à ça mais l'idée me plaisais. j'avais hâte lire le contenu de ce document. La Maîtresse se leva d'un seul coup et m'envoya une gifle. "Il est l'heure de ta séance! Suis-moi sale chien!".
En descendant les escaliers vers la buanderie, je me préparais physiquement à recevoir mon châtiment. Une fois dans la pièce, Elle retira un drap noir qui recouvrait un cheval comme ceux utilisés pour les saut en gymnastique. Des menottes étaient accrochés aux pieds. Elle m'installa le ventre par dessus cet appareil et m'attacha les poignets avec les menottes. j'étais désormais prisonnier. Elle agrippa ma tête par les cheveux et me fourra son jouet dans la bouche. j'étais désormais habitué à ce petit jeux assez agréable. Mais ce que je redoutais le plus, c'était la suite des événement. Après deux minutes de pénétration buccale, Elle fît le tour et ôta le plug de mon anus en se frotta les mains de satisfaction. Elle ouvrit le tube de vaseline et titilla mon anus avec sa main. je sentis ensuite son doigt s' y enfoncer lentement afin de bien faire entrer le gel à l'intérieur. Ce petit moment de massage prostatique fut bref car la Maîtresse ne tarda pas à m'enfoncer son gode. Elle commença par de léger va-et -vient qui me procurait un certain plaisir. Tout ceci n'était que le début car très vite, les aller-retours se firent plus violent. Elle semblait prendre un grand plaisir à m'enculer car je l'entendais rire tout en me donnant de bonne fessée. La sensation de plaisir fut rapidement transformé en douleur étrange. je ne pus d'ailleurs m'empêcher de pousser des gémissements. « Je ne veux pas t'entendre gémir petite salope! Je veux que tu me remercie! J'espère que tu réalise que c'est un honneur pour toi de te faire sodomiser par une Maîtresse de ma grandeur! Ton petit trou du cul est à mes ordres lui aussi!».
La remercier était totalement contradictoire par rapport à la douleur qu'Elle m'infligeais. Ce paradoxe ne m'empêcha pas de lui présenter d'une voix tremblante mes remerciements. La séance fut longue et pénible, malgré tout, j'éprouvais un sentiment d'excitation. Le simple fait d'être soumis à ma Dominatrice m'apportait du bonheur. Mon anus commençait à chauffer mais fut rapidement dilaté par les coups sec et répété de la Maîtresse. j'avais également les fesses rouge à force de recevoir de grosse claques. Cette douce torture devenais de plus en plus insupportable et je ne pus m'empêcher de la supplier d'arrêter. « C'est bien, sale chien! Supplie-moi encore! Prosterne-toi devant ta déesse! ».
La séance pris fin et je fus soulager lorsqu'Elle retira son jouet de mon cul. Elle se plaça devant moi, pris soin de me gifler et de me tenir solidement par le menton pour me cracher sur le visage. « Bon, j'espère que cette fois tu as compris à qui tu avais affaire! Tu es ma chose et c'est tout! C'est clair?».
Elle détacha mes menottes car il était l'heure pour moi de partir. je remis mes vêtements de ville avec une certaine nostalgie de ce week-end passé. La Maîtresse eu un geste qui soudain me fît le plus grand bien. Elle retira délicatement les bas qu'elle avait portés toute la journée et me les donna pour que je pense à Elle durant cette longue semaine en son absence. Avant de rejoindre mon appartement pour retrouver ma vie normale, la Maîtresse me rappela les obligations à tenir pour la fois prochaine, ce qui me remonta le moral. « Nous avons partager un bon moment ensemble mais surtout n'oublies pas que pour la séance suivante, il faudra mettre en application le contrat! Surveille ta boite mail car je n'accepterais aucune excuse! Maintenant, files pauvre esclave! ».
Elle me donna une dernière gifle et je repris le chemin du quotidien.
A suivre...
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PART 4 Le nouveau rendez-vous
La semaine avait été morose et sans grande surprise. je fus malgré tout heureux de recevoir le mercredi soir un courriel de la Maîtresse. Lorsque j'ouvris ce mail j'eus le bonheur d'y voir le contrat en question. je commençais par lire en détails chacune des lignes du document avec jouissance.
« Contrat Maîtresse-soumis.
Préambule:
La Maîtresse est l'unique détentrice du document original.
Celle-ci se garde le droit d'ajouter certaines closes à ce contrat si Elle le souhaite. Aucune réclamation ou contestation ne sera permise de la part de l'esclave.
Article 1 - L'esclave doit le respect et une entière soumission, ainsi qu'un dévouement totale à sa Maîtresse.
il devra l'honorer et satisfaire ses moindres désirs, même s'il doit pour cela être humilié et perdre toute dignité.
Article 2 – L'esclave est la propriété exclusive de sa Maîtresse.
Elle possède tous les droits sur lui. il devra obéir à ses ordres et rendre compte de ses moindres faits et gestes.
Article 3 – L'esclave devra remplir ses besognes avec application, sans avoir le droit de refusé quoi que ce soit.
il devra se plier aux exigences de sa maîtresse en exécutant les fonctions de paillasson, de repose-pied, de toilette humain, de porte-chaussures ou tout autre tâche qui lui sera ordonner de faire.
Article 4 – La Maîtresse est libre de parler à son esclave comme bon lui semble.
Elle peut user d'autorité et de vulgarité dans n'importe quelle situation et n'a aucune obligation de justification envers son esclave.
Article 5 - L'esclave ne possède pas le droit à la parole, excepté si sa Maîtresse l'y autorise.
il se contentera de remplir ses besognes et de satisfaire les moindres envies, punitions et châtiment de sa Maîtresse.
Article 6 - L'esclave devra nettoyer le cuir de ses chaussures, renifler leur odeur et les lécher à l’intérieur.
Il devra également renifler l’odeur de ses pieds, les baiser et les lécher.
Enfin, l'esclave devra renifler et lécher les collants, bas ou mi-bas de sa Maîtresse après qu’ils aient été portés et sali.
Conclusion:
La maîtresse est par conséquent supérieure en tout à son esclave et celui-ci devra obéir au doigt et à l'œil à son dressage."
En lisant ces mots, j'étais devenu fou. je n'avais pas résisté à l'envie de me masturber en glissant l'un de ses bas sur mon sexe et en collant le second sous mon nez pour inhaler son odeur. La pression monta rapidement et sans me retenir, j'éjaculais dans le nylon en rêvant de la Maîtresse.
Les jours suivant furent longs et chaque soir je me postais derrière mon ordinateur afin de mémoriser chaque article pour être un esclave parfait. Nous nous étions donné rendez-vous le vendredi soir et je me présentais donc à sa porte les mains chargées de fleurs ainsi qu'une d'une paire de jolis bas que je venais de lui acheter dans une grande enseigne de lingerie. j'avais le trac comme au premier jour mais j'étais aussi très excité à l'idée de la revoir et de la servir. Après avoir sonné, je l'entendis hurler à l'intérieur en me commandant de rentrer. La maison était plongée dans la pénombre et seules quelques bougies éclairaient le salon. Elle était là, assise les jambes en tailleur et me dévisageais d'un air fier et supérieur. " Qu'est-ce que tu attends pour te déshabiller? Cours dans la salle de bain immédiatement! Va enfiler le collant que j'ai laissé pour toi sur la corbeille à linge sale! Je l'ais porté pendant trois jours et j'ai pris soin de pisser dedans pour ton plaisir!".
j'étais intrigué par ce formidable cadeau que venais de me faire la Maîtresse. Du coup, les miens n'allaient pas vraiment être à la hauteur. A l'intérieur de la salle de bain, je vis à nouveau toute sa lingerie pendue sur un fil. Il y avait deux paires de mi-bas excessivement sale et deux collants dont l'un contenait encore une fois ma brosse à dent. je fus heureux de voir que la Maîtresse n’avait pas perdu ses petites habitudes. Avant de mettre le collant qui gisait au dessus de la corbeille comme un bijou de nylon, ma curiosité me poussa à le renifler. Celui-ci était couleur chaire et dégageait effectivement une forte odeur. Il était maculé d'une belle trace d'urine qui descendait de l'entrecuisse jusqu'aux genoux. Au moment de l'enfiler, je sentis le nylon encore humide, ce qui ne tarda pas à me faire bander. De retour au salon, la Maîtresse semblait décontractée. je lui apportai mes présents en rampant avec modestie. Elle respira le parfum des trois roses rouges et regarda la paire de bas sans faire aucun commentaire. Elle me prit par le menton et m'annonça le programme de la soirée. " Ce soir, j'ai décidé que nous sortirons tous les deux. Je vais prendre un apéritif ici et nous irons ensuite dîner au restaurant. C'est un honneur pour toi d'être vu en public à mes cotés alors ne me déçois pas! Je n'ais pas encore décidé de quelle manière nous finirons la soirée mais peu importe, c'est moi qui déciderais de toute façon!".
Elle claqua des doigts en m'ordonnant de lui apporter un verre. je savais qu'elle aimait la vodka et je pris donc l'initiative de lui servir ce breuvage avec quelques glaçons et d'une petite olive. Elle retira immédiatement cette olive, la glissa dans sa petite culotte et bu une gorgée sans rien dire. Pendant ce temps, je me mis à quatre pattes devant ses pieds. j'avais remarqué qu'Elle s'était habillé de manière chic et sexy. Le long chandail en voile noir transparent qui tombait au dessous de ses fesses recouvrait un magnifique bustier à lacets. Elle avait aussi choisit de mettre une mini-jupe serrée qui laissait ainsi une belle vision de ses jambes galbées dans de superbes bas noirs. Dans ma position de chien soumis, je ne pouvais voir que ces bottes en cuirs. je reçu l'ordre de les baiser ce que je fis sur le champ. Elle sirota lentement sa vodka afin de me laisser le temps d'embrasser chaque parcelle de cuir. Lorsqu'Elle eu enfin terminé son verre, Elle retira l'olive de sa culotte et me la tendit pour que je la mange. Cette petite gourmandise s'était imprégnée pendant quinze minutes de la savoureuse sécrétion de la Maîtresse, ce qui lui donna un gout amer mais tellement délicieux. "Il est l'heure d'y aller! Va t'habiller! Et ne retire pas ton collant surtout! Tu dois le garder toute la soirée!".
Une fois prêt, je conduisis la Maîtresse dans ma voiture en direction du restaurant. Elle était assise sur la banquette arrière comme une reine avec son chauffeur personnel. Discrètement, je la matais à l'aide de mon rétroviseur tout le long du voyage. L'établissement n'était qu'à quelques kilomètres de sa demeure et semblait être assez chic au vu de l'enseigne. A l'intérieur, un hôte nous plaça dans un petit coin à l'abri des regards. Le serveur se présenta à notre table en nous apportant la carte. je n'eus évidement pas le droit de la regarder et laissais choisir la Maîtresse. Elle passa la commande en demandant une belle assiette de foie gras confi, suivit d'un magret de canard arrosé d'un bon vin. Elle choisit pour moi une vulgaire salade verte sans assaisonnement. Lorsque le serveur eut apporté les plats, la Maîtresse s'empressa d'attraper mon assiette et déversa quelques beaux crachats sur ma salade verte en guise de vinaigrette. je regardais mon plat avec délectation car je savais que ça salive rendrait cette simple salade beaucoup plus savoureuse. Le dîner se déroula essentiellement sous la forme d'un monologue. Elle me racontait ses derniers achats en matière de vêtements, lingerie ou accessoires sexuels. Etant donné que j'avais déjà fini mon plat depuis quelques minutes, je me contentais de l'observer tout en écoutant sa voix somptueuse et sensuelle. Au moment du dessert, ce fut au tour d'une serveuse de venir prendre la commande. j'eus le malheur de tourner ma tête pour la regarder quand je sentis soudain la semelle d'une botte écraser mes pauvres couilles. je me retenais avec difficulté de gémir face à la douleur. La Maîtresse demanda d'un air mécontent une pêche melba, mais bien sure rien pour moi. La serveuse retourna aux cuisines un peu étonné. La Maîtresse se leva et m'ordonna sévèrement de la suivre aux toilettes des femmes. Elle nous enferma dans l'un des box et me sermonna. " Qu'est-ce que tu fais là, sale chien! Tu ose regarder cette serveuse minable alors que je suis en face de toi? Fais attention car c'est le genre de choses qui as tendance à m'énerver sérieusement!".
Elle m'envoya une bonne dizaine de violentes gifles pour me punir. je n'avais pas bronché car je savais qu'Elle avait raison. En sortant des toilettes, je fus mort de honte à cause de mes joues rouges écarlates. j'espérais que personne ne le remarque. De retour à notre table, la serveuse avait déjà apporté le dessert. La Maîtresse dégusta sa glace sans me parler tout en essuyant avec force les semelles de ses bottes sur mon sexe. Je la regardais avec amour en repensant à la faute que je venais de commettre. "Il est temps de rentrer afin que je te punisse pour cet affront! Ce n'est pas dans mon habitude d'utiliser des money slave, mais c'est à toi de payer le repas! Je t'attends à la porte, mais attention, je te surveille! Tu n'as pas intérêt à mater ne serait-ce qu'un nichon de cette serveuse!".
Je me dirigeais donc à travers le restaurant tête baissée et paya la note plutôt salée. Sur le chemin du retour, un silence inquiétant pesait dans la voiture. La Maîtresse n'avait pas du tout apprécié mon dérapage involontaire et réfléchissait surement à la manière dont Elle allait me corriger.
A peine arrivé à sa demeure, je me précipitai dans la salle de bain afin de me déshabiller et me présenta à Elle en rampant. La Maîtresse m'attendait en faisant claquer les talons de ces bottes sur le plancher afin de me montrer son impatience. Elle m'ordonna aussitôt de descendre dans la buanderie qu'Elle venait de baptiser L'antre. Je découvris avec stupeur que certaines choses avaient été modifiées, notamment la chaise qui se trouvait en plein milieu de la pièce. Celle-ci était désormais pourvue d'un gode fixé au niveau de l'assise. Je compris immédiatement que j'allais devoir tester cette invention fantasmagorique. « Tu as l'honneur d'être le premier à profiter de mon nouveau jouet! J'ai choisis volontairement un gode de taille moyenne car je veux que ton petit anus de soumis soit bien dilaté! ».
La Maîtresse m'attacha immédiatement les mains dans le dos et recouvrit ensuite le toy de vaseline. Elle m'ordonna de m'empaler sur l'engin en question et j'eus beaucoup de difficulté à me pénétrer moi-même. Mais je toy était si bien huilé que je réussis finalement à m'assoir, non sans avoir poussé quelques petits gémissements de douleur. Elle se mit à tourner autour de moi comme une dompteuse fière d'avoir capturé sa proie. Je la vis sortir soudain de L'antre sans n'avoir reçu aucun ordre. je restais donc sagement sodomisé sur ma chaise de soumission en évitant de trop bouger. Les minutes passèrent et je commençais à désespérer. L'attente était inquiétante malgré que je m'étais habitué à la douloureuse sensation du gode à l'intérieur de mon cul. Lorsqu'Elle réapparut enfin dans la pièce, je fus agréablement surpris de voir qu'Elle s'était changée pour une tenue beaucoup plus provocatrice. En effet, Elle s'était habillé d'un body en cuir noir qui dessinait à merveille les formes de son corps. Elle avait tout de même gardé ses bas noirs et ses superbes bottes en cuir. En voyant cette fabuleuse dominatrice, mon sexe grandit petit à petit en s'écrasant contre le collant qui s'apparentait à force une ceinture de chasteté. Cela dit, je me doutais que ma punition allait commencer à ce moment précis.
A suivre...
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PART 5 Seance fétichisme
La Maîtresse ouvrit soudain un petit coffre qui se trouvait à sa gauche et me présenta une cagoule de cuir noir munie d'un gode fixé au niveau de la bouche. L'utilisation de cet objet sexuel était évidente et c'est avec une grande satisfaction qu'Elle s'empressa de me recouvrir de cette cagoule. « Tu es maintenant réduit à l'état de jouet avec lequel je vais me divertir pleinement! ».Tout en riant, Elle se mit à branler le gode qui s'exhibait honteusement de mon visage. Ce petit jeu n'était que le reflet du manque total de considération qu'Elle avait pour moi. je n'étais donc pas surpris de ses moqueries lorsqu'Elle s'amusait à masturber le toy tout en m'envoyant de bonnes gifles. Une fois rassasiée de cette humiliation qu'Elle m'infligea durant cinq minutes, Elle se redressa fièrement devant moi en me regardant comme un vulgaire objet. « Étant donné que j'ai une grosse envie de sexe mais que ta pauvre bite d'esclave ne mérite absolument pas de me pénétrer, je vais me faire une petite séance d'excitation personnelle sur ta petite gueule! Allonge-toi sur la table! Dépêche-toi! ».
j'eus quelques difficultés à me relever à cause de mes liens et de ce toy qui était enfoncé dans mon anus. Mais je parvins tout de même à me diriger vers la table qui se trouvait près du mur et étendis mon corps d'esclave. La Maîtresse fit le tour, se plaça face à mon visage et laissa généreusement couler sa salive sur le gode afin de le lubrifier correctement. Elle monta ensuite sur la table et s'accroupit au dessus de moi. Son body en cuir était légèrement ouvert au niveau de son entrecuisse, ce qui lui laissait une entière liberté. je pris alors un plaisir immense à observer l'objet s'enfoncer tranquillement dans sa petite chatte humide et voir son fessier s'écraser pleinement sur ma face. Elle resta un instant assise sur mon visage pour se soulager de deux gaz bien odorant, avant d'entamer ces va-et-vient excitant au dessus de moi. Ce spectacle était si jouissif et mon sexe si dressé que j'arrivais à soulever mon collant. La Maîtresse, Elle aussi, prenait du bon temps et se pénétrait de plus en plus fort sur le gode, au point que son cul frappait violemment sur mon visage. je sentais l'orgasme monter en Elle car je me retrouvais inonder de son liquide vaginal. j'étais tout aussi excité de la voir se trémousser sur moi, malheureusement mes liens m’empêchaient de me masturber. Elle ralentit puis poussa un petit gémissement de soulagement. Elle posa ses fesses sans retenue sur mon visage pour m'offrir, pendant un cours moment, un délicieux facesitting. Elle se releva ensuite en me donnant une petite claque sur la joue tel un chien que l'on récompense pour avoir ramener sa balle. "Quel plaisir de jouir! Et quel plaisir de te voir bander sans pouvoir te vider! Tu t'apprendra qu'en tant que soumis, tu ne seras autorisé à te branler que lorsque je t'en aurait donné l'ordre!"
Il était clair que je ne pourrais pas me soulager ce soir mais malgré cette frustration intense, la lueur de joie qui brillait dans ses yeux me rendait heureux. Tout en me tirant du bout du gode, Elle me traîna jusqu'en haut pour rejoindre le salon. Elle s'assit pour reprendre peu à peu son souffle et ses esprits mais n'oublia pas de me donner un nouvel ordre. « Cette petite séance m'a beaucoup plus! Je pense que je t'ai enfin trouvé un rôle adéquat! Tu seras désormais mon gode humain! Cette cagoule te va à merveille! Je compte d'ailleurs inviter une de mes amies demain soir. Tu devras donc te présenter à Elle de cette manière afin qu'elle puisse se rendre compte à quel point tu es pitoyable! Tout ceci m'a exténué! Mais ne crois pas que ton travail est terminé! Je vais me reposer en regardant un peu la télé et pendant ce temps, tu va retirer mes bottes et les renifler comme un chien que tu es! Tu n’auras le droit qu'à ça, alors profites-en! ».
Elle me retira la cagoule avant de s'allonger le long du canapé et d'étendre ses jambes. je descendais progressivement la fermeture éclaire de ses magnifiques bottes et les ôtais délicatement. Immédiatement, je sentis la chaleur qui se dégageait de l'intérieur. j'étais surexcité à l'idée de pouvoir renifler sa douce odeur de pieds. je pris la première entre mes deux mains et plongea mon nez avec plaisir. Sa botte sentait le renfermé et le cuir encore moite. « Ça pue, hein? Mais si tu veux devenir un bon esclave, tu dois savoir apprécier toutes les odeurs de ta Maîtresse sans exception! Dis-toi que c'est un honneur de pouvoir sniffer la puanteur de mes bottes!».
je hochais la tête en signe d'acceptation car j'étais déjà bien content de pouvoir me délecter de ce fumet si excitant. Au bout d'une dizaine de minutes, la Maîtresse m'ordonna de passer à la seconde botte tout en sachant que je retrouverais ces relents de transpiration de nylon et de cuir. je m'extasiais ainsi pendant encore dix minutes, le sexe comprimer dans mon collant. « Je suis lessivé! Je vais aller me coucher! Tu connais le chemin de ta niche sale esclave, alors files! ». je retrouvais ce placard dans lequel j'avais dormis le week-end dernier. L'odeur de ces chaussures était toujours aussi puissante et envoutante. La Maîtresse ne dérogea pas à la règle qu'Elle m'avait fixée la semaine passée et m'attacha l'une de ses chaussures sur le visage avant de me coucher. Elle ferma les portes et me laissa tranquille jusqu'au lendemain matin.
Il était à peine huit heure trente quand j'entendis de violents coups sur les portes du placard. C'était la Maîtresse, encore en petite nuisette, qui m'ordonnait de me réveillé. Elle me libéra de ma petite prison et de cette chaussure qui était restée solidement attaché toute la nuit sous mon nez. « Va me chercher des croissants sale chien! Je veux que tu me prépare un véritable déjeuner, c'est compris? ».
je pris mes jambes à mon cou, m'habilla rapidement et sorti en ville à la recherche d'une boulangerie. je ne connaissais pas vraiment le quartier et je découvris, après avoir demandé à un passant, que la seule boulangerie se trouvait à l'autre bout de la ville. je décidais de prendre ma voiture de peur que la Maîtresse ne s'impatiente de trop. Je fus de retour après vingt minutes de galères successives. Comme je le redoutais, la Maîtresse était furieuse. Je me dirigeais vers la cuisine à coup de pied dans le cul en évitant de prêter trop d'attention aux insultes qu'Elle me hurlait car il était inutile de tenter de me justifier. " Ce n'est pas possible d'être aussi incapable! Cela aurait dû te prendre à peine dix minutes! Tu es vraiment une merde! Je vais devoir être plus sévère concernant ton dressage petite salope!"
je préparais son café en disposant amoureusement les croissants sur un beau plateau doré afin de me faire pardonner. Elle continuait à me hurler dessus jusqu'au moment de la servir. Elle m'attendait allongé dans son lit, encore énervé de mon comportement et était bien décider à me le faire payer. " Vu que tu n'es qu'un bon à rien, je vais t'apprendre les bonnes manières qu’on enseigne à un véritable soumis!".
je lui tendis le plateau. Elle le prit et m'ordonna de me mettre à quatre pattes à coté de son lit. A peine à terre, la Maîtresse le posa sur mon dos en me menaçant. "Et tu n'as pas intérêt à renverser quoi que ce soit! Je ne peux pas te faire confiance en tant qu'esclave alors je vais simplement te traiter comme un homme-objet! Tu va me servir de table basse pour que je puisse déjeuner tranquillement! Et je vais prendre mon temps, sale chien!"
je restais donc dans cette position inconfortable et délicate. Pendant de temps, Elle trempait tranquillement les croissants dans son café sans se soucier de la tâche pénible qu’Elle m’infligeait. Petit à petit, la charge devint moins pesante. La difficulté de maintenir l'équilibre du plateau était tout de même bien présente. Comme à son habitude, Elle me laissa finalement par terre son bol contenant un morceau de croissant prémâché baignant dans un fond de café froid. La Maîtresse me libéra enfin le dos afin que je déguste à mon tour ce petit déjeuner. je dû me dépêcher car la journée allait être bien chargée. Son invitée devait nous rejoindre à la demeure pour dix-huit heures. Pendant qu'Elle prenait sa douche, je me nettoyais les dents avec cette brosse si particulière. je commençais à m'habituer au gout amer mais si excitant du collant qui recouvrait ma brosse. Tout ces petits rituels me remplissait de bonheur car j'avais la sensation de lui appartenir de plus en plus. Du coup, je pris même l'initiative de lui apporter une serviette de bain propre pour qu'Elle ne prenne pas froid en sortant de la douche. Elle apprécia ce geste d'attention.
La Maîtresse souhaitait préparer au mieux la soirée et pour cela, nous dûmes nous rendre au marché de la ville pour acheter des produits frais. Ensuite, direction les grands magasins afin qu'Elle puisse se trouver un tenue. Lorsque la Maîtresse recevait ses amies, Elle tenait absolument à être le centre d'intérêt. Elle aimait particulièrement les flatteries et les compliments. Cette obsession à se pavaner comme une reine devant ses convives me paraissait normal et naturel de part sa grandeur. Elle commença donc par essayer quelques bustiers assez sexy et trouva enfin celui qui lui plaisait. Nous inspections ensuite chaque magasin en détails pour dénicher une jupe en adéquation avec son haut. Le shopping pour un homme est toujours un moment pénible et long, mais pour ma part, j'étais heureux de pouvoir partager ce moment en compagnie de la Maîtresse. Elle semblait un peu énervée de ne pas trouver son bonheur parmi la quantité de jupes en tout genre que les boutiques pouvaient offrir. Elle eu soudain le coup de foudre pour un superbe leggins noir dont la texture ressemblait à s'y méprendre à celle du cuir. Elle n'hésita pas un instant et l'acheta avec un grand sourire. Malgré ce que je pouvais croire, ce shopping qui durait déjà depuis plus de deux heures n'était pas terminé. Il fallait évidemment qu'Elle porte les chaussures qui correspondraient parfaitement à cette nouvelle tenue. Ce fut, là encore, assez long. Mais ce qui me plaisait, c'est que la Maîtresse exigait de moi que je la chausse et la déchausse à chaque essai. Elle n'avait pas du tout envie de se baisser et préférait que j'exécute cette tâche à sa place, ce que je considérais tout à fait normal. je pouvais ainsi en profiter pour lui caresser légèrement les pieds. je ne me préoccupais donc plus du tout de ces minutes interminables qui s'écoulaient. Elle fut finalement conquise par une paire d'escarpins noirs à talon hauts. Ces chaussures me plaisaient énormément car l'ouverture au bout du pied me permettait d'admirer ses beaux orteils recouverts de nylon. Il était maintenant dix-sept heures, ce qui me laissait à peine deux heures pour préparer le repas de ce soir.
A suivre...
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